[Collection] Détective Pocket ( Bel Air )

20 Le diable est mon cousin Irving Le Roy 1963

23 La scandaleuse Inglis Carter 1964

5 Poupée de chair Han J. Nordling 1963

Citation :

surtout avec quelques couvertures dont certaines sont assez réussies

disais-je plus haut !
L'auteur (d'un certain nombre ) en est un curieux personnage nommé James Hodges
http://jameshodges.free.fr/Illustration/livres_illustres_JH.html

pfinge a écrit:

72 Du sang sur New-York Irving Le Roy 1966

le titre semble légèrement différent

Mise à jour et ajout de scans de la liste page 1

Léon Rude a écrit:

Le n° 6.

Une autre supercherie à verser au crédit de cette collection (sans doute déjà repérée par Pierre Turpin, mais mentionnée ici par acquis de conscience) :
ne cherchez plus la femme, il s'agit de Jessie-la-Rousse*, l'héroïne de Claude Ferny, dont les éditions Baudelaire nous proposent ici une édition entièrement pirate et abrégée/réécrite pour rentrer dans le format des 160 pages de la collection.

* Jessie-la-Rousse par Peter Marsch, roman "adapté de l'américain par Claude Ferny" (éditions Métal, 1956).

Rectificatif à la liste de pfinge :

pfinge a écrit:

68 Tropique du scorpion Lewis Cashan

Mon exemplaire indique comme auteur Georg Maier (= Debeurre)

Citation :

Rectificatif à la liste de pfinge :
pfinge a écrit:
68 Tropique du scorpion Lewis Cashan

Mon exemplaire indique comme auteur Georg Maier (= Debeurre)

Tiens donc ! D'où peut bien sortir ce Lewis Cashan ? Je vais partir à sa recherche.

J'ai trouvé : c'est Herbulot qui nous l'a donné !
Si on ne peut même plus se fier au Maître ? Faut-il lui supprimer la gueuze ?
Un scan serait le bienvenu.

Selon vos désirs, Maître pfinge :

Quant à herbulot, il me semble rimer avec rigolo ces temps-ci. D'ailleurs, l'est encore parti se piquer la ruche du côté de Reims, en compagnie d'une grenouille de ses amies (du genre avec des grandes cuisses)
A sa décharge, on notera que ce Cashan n'est jamais qu'un autre pseudo de Debeurre.

- 13 réédition amputée de trois chapitres
- 30 réédition de Passeport pour l'au-delà
- 35 roman inédit (chose rarissime )
- 38 réédition du Condamné à mort
- 49 roman inédit (encore un, youpi )
- 57 (Festival des Macchabées par Irving Heller) n'a rien à voir avec Héléna; serait un inédit (et de trois) de RG. Méra.
J'ai préféré mettre écrire dans ce taupique qui me semblait le plus évident, mais j'ai eu du mal à choisir; peut-être conviendrait-il de répercuter sur d'autres taupiques guerberiens.

Petites précisions amigo:

no 13 c'est bien sûr reed de"compagnons du destin"no 2
no 49 réed de "la folle passion de Robert Slene"dans "pour lire la nuit"(dixit maitre Turpin)
no 58(et non 57) réed de chez Armand Fleury(collection"le crépuscule")

Es-tu sûr de ce que tu avances pour le no 58?

Notre maître se serait-il fourvoyé?

Y laisse rien passer l'ardennais; pas moyens de se reposer sur ses maigres lauriers!!
Concernant Héléna, j'avais des indices trouvés de ci de là, mais surtout j'avais contacté Franck Evrard qui m'avait donné ces renseignements que l'on retrouve dans son livre Les secrets d'un auteur de romans noirs.
Pour le n° 13 c'est bon, pour le 49 (J'aurai ta peau) Evrard parle bel et bien d'un inédit (annoncé dès 1953 sous le titre Monsieur William).
En ce qui concerne le Festival des macchabées signé Irving Heller, je ne l'ai pas sous la main, mais encore une fois, F. Evrard affirme que c'est (que ce serait...) un inédit de RG Méra qu'il dit être le numéro 57. Cependant si j'en crois la liste du bon docteur Pfinge c'est plutôt le numéro 58.
Alors qu'en dis-tu Herbulot de mon coeur
Il convient d'ajouter que F.Evrard a souvent fait appel à Pierre Turpin. Ce qui ne l'a pas toujours empêché de commettre de grosses bévues. Il me semblait pourtant que c'était un cador pour tout ce qui touchait à André Héléna.

herbulot a écrit:

no 58(et non 57) réed de chez Armand Fleury(collection"le crépuscule")

Il y a bien un "Drôle de macchabée", mais il est de Robert Julien Courtine (La Reynière)
Non, il y a bien festival des macchabées de André Héléna

Donc, la question est la même que pour Passeport pour l'au-delà : s'agit-il du même texte et quel en est l'auteur ?

oui, le voilu

En tout début de topic Ignatz donne des références italiennes pour 4 des ouvrages.

Compte-tenu des explorations espagnoles, j'aimerais savoir s'il a vérifié la correspondance des textes , car je me demande s'il ne s'agit pas là encore, d'emprunts indélicats de pseudonymes étrangers.

Quelqu'un possède-t-il ce titre :
43 Violence sur table Chen Morrison
Je me demande si le titre n'est pas plutôt Violence sur la baie

je ne l'ai pas mais en voilà un scan qui confirme tes dires

Merci!
Pfinge pourra donc corriger sa liste en première page, merci à lui!

C'est tout à fait vrai, d'ailleurs c'est ce que j'avais dans ma base.
Pour me faire pardonner, j'ai rajouté plein d'images.

Te v'la pardonné! L'erreur figurait dans la liste de Pierre Turpin publiée dans le n°14 d'Encrage.

Je poste ici en double cette question: on n'est jamais trop prudent...

Quelqu'un aurait-il une idée du titre original de cet ouvrage signé Hank Janson :
Razzia sur la drogue (éd. Bel-Air, Détective-Pocket n° 61, 1965) ?
Je n'ai rien trouvé d'approchant dans la bibliographie de Hubin (Crime Fiction IV).
Je me demande finalement s'il s'agit bien d'un Hank Janson...
Quelqu'un aurait-il le texte sous la main pour se faire une idée?

je connais pas du tout Janson en dehors des Fleuve Noir / L'Aventurier...
bon, en tout cas, le héros s'appelle bien Hank Janson, il bosse bien au Chicago Chronicle et c'est narré à la première personne du singulier.
par contre, il est aussi agent du FBI ( ) et le style d'écriture est transparent : rien à voir avec la peter cheneyzerie (tu m'excusera) de ceux publiés au Fleuve.
bref, ça sent le gros traficotage made in bel-air.
quant à l'intrigue, c'est Hank Janson qui démantèle avec l'aide de sa superbe compagne asiatique Fleur De Lotus le réseau de drogue super-international d'un ponte de la maffia, Batiste Bastori dit Le Requin.
un petit extrait pour vérifier la qualité de la prose :

"Il détenait un tel pouvoir, que pour en mesurer la puissance et la portée, il faut noter que malgré toute son existence criminelle et en marge de la loi, Bastori n'avait jamais passé, même pas quelques heures, dans une prison."

ça donne mal au crane !
j'en avais causé sur le muller mais je donne pas le lien, on y apprend rien d'intéressant