[Série] Le Loup (Thill)

Série éditée par THILL

Ici le n°5: Jacques Berrue, La trahison ne paie pas, série le Loup, n°5, éditions THILL, 1956:

Le n°4: Kenneth Milardy, Les Morts sont discrets, 1956

Le n°6, Peter Carson, Tierce à la Dame:

Ferocias a écrit:

Le n°6, Peter Carson, Tierce à la Dame:

Curieux... il me dit quelque chose

Le n°3
Zone Dangereuse, Patrick Lelong - 19561.

Toujours illustré par Jihel alias Jacques Lecler

Le Berrue sra repris au numéro 71 de La Loupe espionnage
en 1959 mais signé J Denfert

Cirroco Clone's a écrit:

Le n°3
Zone Dangereuse, Patrick Lelong - 1956

Toujours illustré par Jihel alias Jacques Lecler

réédité au Moulin noir n°10 en 1960

le n°2 Aller simple pour Moscou Ellen Edisson en 1956

avec un scan assez pourri made in Ibaille

Le n°1 Vol au cimetière d'Ellen Edisson 1956
Illustration RVR

THILL - Le Loup (1956)

1 - Vol au cimetière / Ellen EDISSON
2 - Aller simple pour Moscou / Ellen EDISSON
3 - Zone dangereuse / Patrick LELONG
4 - Les morts sont discrets / Kenneth MILARDY
5 - La trahison ne paie pas / Jacques BERRUE
6 - Tierce à la Dame / Peter CARSON


1. 2. 3. 4. 5.

tant qu'à faire voilà un scan du 6

en fait je l'avait trouvé aussi, mais pas mis en ligne, scan de trop mauvaise qualité !

PS : pour la chasse aux scans, Price.,Delcampe,Ama. ? d'autres sites intéressants ?

- Kenneth Milardy est Roger Valuet (alias Roger Vilard au Fleuve Noir) de la Porte Saint-Martin; et le titre Les morts sont discrets est la réédition (pirate me semble-t-il, ce qui paraît logique vu l'éditeur) de La mort est à l'affut.

Ces rééditions pirates sont évoquées dans l'article consacré à l'auteur dans notre revue préférée, Le Rocambole n° 42 (2008), et dont un certain herbulot pourrait sans doute nous parler s'il se manifestait dans ce sujet...

Doigts sur la couture mon capitaine!

Voir l affaire dans notre chère revue

j'ai en plus :
7 - Sinistre mission -
8 - Panique sur Angkor -
tous deux «à paraitre», annoncé & non paru.
des infos ?

bibouillou a écrit:

- Kenneth Milardy est Roger Valuet (alias Roger Vilard au Fleuve Noir) de la Porte Saint-Martin; et le titre Les morts sont discrets est la réédition (pirate me semble-t-il, ce qui paraît logique vu l'éditeur) de La mort est à l'affut.

est -ce qu'on pourrait reprendre l'écheveau pour ce titre
donc
Titre original La mort est à l'affût Roger Valuet Guerre secrète n°5 1952
réédition pirate Les morts sont discrets Kenneth Milardy Le loup espionnage n°4 1956

mais j'avais noté aussi
Le voyageur invisible Mark Halloran Service secret Baudelaire 55

Citation :

Mark Halloran c'est encore Richard Valuet (cf. la collection Le Loup)
et le titre Le voyageur invisible de nouveau un piratage de La mort est à l'affut

et il y a aussi
Les morts sont discrets Douglas Lloyd Service secrets / Baudelaire 39 1962

exact fan! ces deux titres annoncés et non parus( on ne sait même pas qui étaient les auteurs,l'éditeur n'en dit rien

arzam a écrit:

le n°2 Aller simple pour Moscou Ellen Edisson en 1956
avec un scan assez pourri made in Ibaille

Un scan "made in ma bibliothèque" de meilleure qualité, j'espère :

arzam a écrit:

bibouillou a écrit:

- Kenneth Milardy est Roger Valuet (alias Roger Vilard au Fleuve Noir) de la Porte Saint-Martin; et le titre Les morts sont discrets est la réédition (pirate me semble-t-il, ce qui paraît logique vu l'éditeur) de La mort est à l'affut.

est -ce qu'on pourrait reprendre l'écheveau pour ce titre
donc
Titre original La mort est à l'affût Roger Valuet Guerre secrète n°5 1952
réédition pirate Les morts sont discrets Kenneth Milardy Le loup espionnage n°4 1956

mais j'avais noté aussi
Le voyageur invisible Mark Halloran Service secret Baudelaire 55

Citation :

Mark Halloran c'est encore Richard Valuet (cf. la collection Le Loup)
et le titre Le voyageur invisible de nouveau un piratage de La mort est à l'affut

et il y a aussi
Les morts sont discrets Douglas Lloyd Service secrets / Baudelaire 39 1962

La réponse s'est fait attendre, mes amis: saluons la patience d'arzam!
Tu fais fausse route avec Les morts sont discrets de Douglas Lloyd : ce titre-là est la réédition de Les morts se conservent au frais signé Merced Steamer (Ed. de la Seine, Service secret n°4) (d'après Pierre Turpin, dans Encrage n°14).

Maciste a écrit:

La réponse s'est fait attendre, mes amis: saluons la patience d'arzam!
Tu fais fausse route avec Les morts sont discrets de Douglas Lloyd : ce titre-là est la réédition de Les morts se conservent au frais signé Merced Steamer (Ed. de la Seine, Service secret n°4) (d'après Pierre Turpin, dans Encrage n°14).

no problemo ...comme on dit dans le chn'nord d'après les "on dit"

mais j'avais noté aussi que Les morts sont discrets de Douglas Lloyd était aussi une réédition de Passage pour l'enfer dans la fameuse et bordélique collection Cristal n°5 en 1960

donc voilà un autre triplé

Diantre, Teufel, et j'en passe... Il faut que j'aille fouiner dans mes cartons pour mettre au clair cette affaire. La suite dans la journée (si tout va bien!)...

Me revoilà, comme annoncé, après une journée passée à une foule de choses moins intéressantes que de contribuer au forum, mais nécessaires pour gagner un peu d'argent...
Donc, Les morts sont discrets signé Kenneth Milardy (Thill, "Le Loup" n°4) débute par la phrase "Un après-midi triste d'hiver".


Le voyageur invisible signé Mark Halloran (éd. Baudelaire, Service-Secret n°55) débute par la phrase : (suspense) "Un après-midi triste d'hiver".


Ce qui me chiffonne, c'est que le roman d'origine n'est peut-être pas La mort est à l'affût mais La Tamise n'y est pour rien, paru dans la même collection (Porte Saint-Martin, "Guerre secrète" n°2), mais je n'ai actuellement aucun de ces deux romans pour trancher. Est-ce Bibouillou qui avait donné La mort est à l'affût ? Pierre Turpin, lui, indique La Tamise n'y est pour rien. A vérifier sur pièce, donc.

Pour ce qui est de Les morts se conservent au frais de Ralph Merced et Jack Steamer (éd. de La Seine, "Service secret" n°4), voici le début :


Je n'ai pas (encore!) Passage pour l'enfer dans la collection Cristal pour comparer, ni Les morts sont discrets (Service secret n°39), mais Pierre Turpin donnait bien ce triplé, et peut-être même un quadruplé possible avec FBI contre FBI signé Ch. Mitchell (éd. Baudelaire, "Service secret" n°50 : à vérifier!

Suite du feuilleton, qui tient en haleine la France entière (et sans doute bien au-delà)
FBI contre FBI signé Ch. Mitchell (éd. Baudelaire, "Service secret" n°50, 1962) a une couverture inédite (encore que si l'on allait chercher du côté de l'Espagne, on trouverait sans doute des choses) :

Mais, à l'intérieur, c'est plutôt du réchauffé :

On remarquera le copyright, attribué aux éditions du Champ de Mars en 1960 (et donc à la version parue dans la coll. Cristal!).
FBI contre FBI est donc bel et bien une réédition de Les morts se conservent au frais, d'abord paru sous la signature de Ralph Merced et Jack Steamer (éd. de La Seine, "Service secret" n°4)

Maciste a écrit:

Les morts sont discrets signé Kenneth Milardy (Thill, "Le Loup" n°4) débute par la phrase "Un après-midi triste d'hiver".


Le voyageur invisible signé Mark Halloran (éd. Baudelaire, Service-Secret n°55) débute par la phrase : (suspense) "Un après-midi triste d'hiver".


Ce qui me chiffonne, c'est que le roman d'origine n'est peut-être pas La mort est à l'affût mais La Tamise n'y est pour rien, paru dans la même collection (Porte Saint-Martin, "Guerre secrète" n°2), mais je n'ai actuellement aucun de ces deux romans pour trancher. Est-ce Bibouillou qui avait donné La mort est à l'affût ? Pierre Turpin, lui, indique La Tamise n'y est pour rien. A vérifier sur pièce, donc.

Je viens de vérifier : La Tamise n'y est pour rien est un roman différent des deux romans discutés. Erreur à rectifier dans Encrage n°14, p.33 (pour ceux qui le possèdent (étonnant de la part de Pierre Turpin, non?).
En revanche, c'est bien La mort est à l'affût (Porte St Martin, "Guerre secrète" n°4, 1952, par Roger Valuet) qui est la source de Les morts sont discrets, mais celui-ci n'est pas une simple réédition : il s'agit d'une version abrégée et partiellement réécrite, pour tenir dans le nouveau format de 192 pages
Le voyageur invisible, lui, est une réédition de cette version remaniée, Les morts sont discrets.
Est-ce clair?