(Collection) Mémoires de Villiod

Selon Philippe MELLOT, 20 fascicules (18 x 11) seraient parus en 1921. Auteur anonyme, illustrateur 1er plat idem.
Editions du Livre National, 75, rue Dareau - Paris XIVème.

J'en ai trouvé quelques uns qui me permettent de donner le listing suivant (non listé dans le Biseglia) :

"Mémoires de Villiod, détective privé"

1 - La maison maudite
2 - Le mort vivant
3 - L'amant de Mme Cork
4 - En cinq sec
5 - Un crime mystérieux
6 - La doctoresse
7 - Un indésirable
8 - L'héritier d'un grand nom
9 - L'huissier-tailleur
10 - Chez les fous
11 - Le testamend de J. Durand
12 - Le détective gentleman
13 - Un coup de revolver
14 - Maroussia
15 - Fatale ressemblance
16 - Les deux pères
17 - Histoire d'un portrait
18 - Le chèque disparu
19 - Vendetta
20 - Vers le crime.



A confirmer

J'ai trouvé aussi un petit volume broché 10,5 x 17,5 titré : "Nouvelles Aventures et Histoires de Police" sous-titré "Mémoires de Villiod"; sans date de parution, auteur et illustrateur 1er plat anonymes.
Ce volume regroupe les 10 premiers titres des fascicules cités ci-dessus, reliure éditeur donc postérieure à 1921 qui devait avoir un deuxième volume, non ?

j'avais cette notice dans ma base

Citation :

- Èditions Férenczy (Paris)
- Une vingtaine de fascicules de 28 pages qui relatent d'une façon idéalisée les enquêtes du détective privé parisien Eugène Villiod, l'homme à la clé.
- Parution : début des années 1920
- Dimension de 11 x 18 avec couverture identique représentant un homme masqué saisissant une clé surdimentionnée.
- Auteur anonyme mais ces récits pouraient avoir été écrits par Eugène Villiod lui-même.

bizarre, chez Ferenczy...mais d'où est-ce que cette notice vient ?
de plus j'ai bien une collection éditée au livre national comme celle indiquée ci-dessus avec qq-uns des titres cités

Il n'y avait pas eu un article sur cette série dans un numéro du "Petit Détective" ?

Bien 20 fascicules en 1921.

Dix pages dans "Le Petit Détective" no 4 avec illustrations et documents.

Belzé a trouvé un recueil à coup sûr.

Notons qu'est paru chez Tallandier "Comment on nous vole, comment on nous tue" par le détective Villiod. Réédition du titre paru à la "Maison d'édition" au 21 rue Lavoisier Paris en 1905.

Arzami, tes notes férencziennes doivent être tronquées

Fô que je retrouve d'où ça venait

en attendant qq infos sur l'illustration de l'homme masqué à la clef

Citation :

Après 1910, Eugène VILLIOD créa, lui aussi, une agence de police privée. Son succès fut immense et fut symbolisé par une affiche dessinée par le Maître Capiello représentant le Détective masqué, vêtu d'une cape noire et tenant une immense clé dans ses mains. Villiod abandonna la profession après avoir contracté un très riche mariage avec la fille des sucreries Lebaudy

http://www.cnsp.org/detectives/historique_du_detective.htm

illustration que l'on retrouve aussi sur ce livre

Citation :

Détectives. Dominique Kalifa, Célérité et discrétion. Les Détectives privés en France, de Vidocq à Burma (Paris Bibliothèques éditions, 2004, 32 p., 8 €). Nul n’était plus qualifié que Dominique Kalifa pour rédiger ce catalogue de l’exposition éponyme qui s’est tenue à la Bibliothèque des littératures policières (48/50, rue du Cardinal-Lemoine, Paris) de mai à octobre 2004. Sur le plan de l’histoire purement hexagonale, l’auteur revient brièvement sur les parangons français, tel Vidocq, qui, renvoyé de la Sûreté en 1832, fut à l’origine de la première agence de renseignements, ou tel l’incontournable Goron. Mais c’est bien aux États-Unis que la chanson de geste de la fameuse « brigade des cocus » vit le jour, vers 1880, avec l’édition en fascicules des dime novels, avant d’arriver en France en 1907. Des maisons comme Ferenczi, Offenstadt, Pierre Laffitte et Albin Michel surent prendre le train en marche. On se régalera de la reproduction des couvertures des Nick Carter et des Marc Jordan, qui paraissent sorties tout droit du Petit Journal – car, il faut le préciser, le catalogue vaut également par la richesse des reproductions iconographiques. On y retrouvera notamment L’Homme à la clef de Cappiello. En fin d’ouvrage, un répertoire des principaux détectives de la littérature française de 1850 à 1950.

quelqu'un connaît, ça a l'air bien

Connais mais n'ai pas.
Par contre j'ai "naissance de la police privée"( détectives et agences de recherches en France :1832-1942) ou Kalifa parle beaucoup de Villiod naturellement.

arzam a écrit:

quelqu'un connaît, ça a l'air bien

Ouais, je l'ai ... c'est pas mal mais mon exemplaire doit être au fond d'un carton Un conseil, amis collectionneurs : "NE DEMENAGEZ JAMAIS !"

Trouvé sur le Net et en particulier sur le site de la Chambre National des Détectives Français (si, si, ça existe !) cette petite notice sur Villiod :

Après 1910, Eugène VILLIOD créa, lui aussi, une agence de police privée. Son succès fut immense et fut symbolisé par une affiche dessinée par le Maître Capiello représentant le Détective masqué, vêtu d'une cape noire et tenant une immense clé dans ses mains. Villiod abandonna la profession après avoir contracté un très riche mariage avec la fille des sucreries Lebaudy.

oui... c'est ce que j'avais mis 4 messages plus haut