Miss Boston(Albin Michel)

Sous-titrée:"la seule femme-détective du monde entier".
Série de 1910 en20 fascicules de 32 pages ,illustrés par André Galland.

Anonyme mais créé par Antonin Reschal(1874-1935),auteur d'ouvrages" osés" chez Albin Michel.

Voir "l'année du polar"1986 ou l'ami Mermet en parle...

herbulot a écrit:

Sous-titrée:"la seule femme-détective du monde entier".

C'est un peu exagéré : que fait-on d'Ethel King, "une femme grand détective" ??

Mermet, dans son article précise cependant :
"Il avait eu tort, trois ans auparavant, il y avait eu Ida Carter, la cousine de Nick Carter, et à la même époque que son héroïne parurent les fascicules Ethel King chez Eichler."

Il donne également la liste des titres parus :

1 L'assassinat du plus célèbre des détectives
2 La bande des cravates vertes
3 Les cadavres aux masques de cire
4 L'aéroplane mystérieux
5 Le ressuscité du cimetière de Cleveland
6 Le roi des faussaires
7 Les secrets de l'hypnotisme
8 Vingt cinq cadavres !
9 Le drame de l'express de Chicago
10 Les souterrains maudits de Clifford ou La revanche de la détective
11 L' HOMME INVISIBLE ou La Bande aux Cent Mille Bras
12 LA POIGNÉE DE MAINS FATALE ou La rentrée en Scène de Teddy
13 LA FEMME AUX YEUX VERT
14 L' ÉLIXIR MAGIQUE
15 HAINE DE FEMME ou La Capture de l' Homme Invisible
16 LE MEURTRE DE GROSVENOR-PLACE
17 LA MAIN COUPÉE
18 LE RAPIDE DE L' ARIZONA ou Les Cows-Boys Rouges
19 LES TÊTES EMBAUMÉES DE CHICAGO
20 L' ASSOCIATION DES RIFFLEURS ou La Mort de Sokes

Signalons pour le lecteur de passage sur le forum qu'un sujet a été ouvert sur Ethel King :
https://litteraturepopulaire.1fr1.net/toute-la-litterature-policiere-ancienne-avant-1950-f4/collection-ethel-king-t1246.htm?

une seconde série serait parue publiée par Albin Michel , via les Editions Modernes .

Tiens donc! aurais-tu des détails?

Il semblerait que cela vienne de ce livre :

http://www.publibook.com/librairie/livre.php?isbn=9782748351965

livre que je ne connaissais pas et qu'il faut que j'achète, tiens ! J'avais déjà son ouvrage sur Léo Fontan.

A la vue de l'extrait, je pense qu'il y a une erreur : l'auteur dit ( je cite ) "Une seconde série a été publiée, elle aussi, par Albin Michel situé alors au 10 de la rue de l'Université à Paris, via les éditions Modernes. L'éditeur s'installe au 22 rue Huyghens en 1910."


Les éditions Modernes n'existaient pas en 1908-1910, du moins à ma connaissance.
Pour un retour sur les premières années d'Albin Michel, voir ce que j'avais écrit :
https://litteraturepopulaire.1fr1.net/t822-albin-michel-romans-en-livraisons

Personne n'a jamais vu cette 2e série de Miss Boston (mais beaucoup n'ont jamais vu la première...), il faudrait donc prouver son existence! Où Daniel Auliac a-t-il bien pu pêcher cette information?

On suppute sur mes sources !
Je confirme donc...

Par contre , dans le topic sur les Editions modernes , on trouve

aymondel a écrit:

La Librairie des Éditions Modernes a été active sous ce nom de 1906 à 1921

et

Jean François Le Deist a écrit:

Chez moi, j'ai séparé les deux groupes :

Librairie Moderne ( avec tous les romans en livraisons plus ou moins en cheville avec Albin Michel : on ne m'enlèvera pas de l'idée qu'Albin Michel était en cheville avec eux )

Editions Modernes à la rue des Petites Ecuries, actives des années 20 à 1948

Et je cite Prokov qui me citait / corrigeait il y a quelques années :

Prokov a écrit:

Ignatz Mouse a écrit:

Grand éditeur dans le domaine de la Bande dessinée. Je laisse le soin à Prokov d'aborder cette partie de son histoire. C'est plus son domaine.

Au début des années 30, 3 éditeurs italiens émigrent en France pour fuir le fascisme de Mussolini : Cino Del Duca, Lottario Vecchi et Ettore Carozzo. Vecchi et Carozzo sont 2 beaux-frères.
Et C. est un ami d'enfance de CDD
Lottario Vecchi avait auparavant repris les éditions Hiermann ( Piémont italien ), Cino del Duca y travaillait sous ses ordres.

Del Duca arrive en France en 1932 et crée les éditions Mondiales en 1934.

Vecchi crée la S.A.G.E. à son arrivée en France. Pour l'histoire de la partie BD, voir :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sag%C3%A9dition
et
http://www.danslagueuleduloup.com/

Carozzo, à son arrivée en France, crée la "Librairie Moderne" avec Del Duca ( 50 % chacun ).
Si tu relis l'article de Pasamonik, tu verras que l'association était apparemment avec Vecchi ...
Adresse : 6 rue Gager-Gabillot, Paris 15
Au moment de la 2ème guerre mondiale, Il se replie sur Lyon.

Je ne connais pas les modalités de la fusion SAGE / Librairie Moderne après-guerre.
C'est plus compliqué que ça ... (voir plus bas)

Durant les années 50, une partie des interminables romans en livraisons d'avant-guerre seront rééditées sous le label "R.L.P." ( Renaissance du Livre Populaire". Toujours à la même adresse ( 6 rue Gager-Gabillot )

Comme tu l'as bien dit, ma vision est très orientée BD. Je ne vais donc pas développer ce sujet ici car ce n'est pas l'endroit. Par contre, ce qui est toujours gènant, tant de ton côté que du mien, c'est qu'en regardant un seul bout de la lorgnette..., il est difficile de se faire une idée globale.
Voici donc ma contribution sur ce sujet, sachant donc qu'elle est limitée par mon oeil BD  
1. Je me suis permis de modifier quelques points de ton texte. Tout cela demandera confirmation. En plus, il y a une certaine probabilité que Didier Pasamonik, qui a beaucoup écrit, a pris le travers du journaliste de romancer un peu ses articles.... (je dis cela évidemment avec un clin d'oeil de sympathie). Par exemple, il est peu probable que Cino Del Duca aie créé les éditions Mondiales en se basant sur le succès du Journal de Mickey de Paul Winkler, puisqu'il l'a fait AVANT (sauf erreur de datation),
Les éditions Mondiales ont été crées en 1934 et le JdM a démarré le 21 octobre ...
2. D'autres sources comme Wikipédia (dont ceci pourrait à nouveau confirmer la non-fiabilité) citent Vecchi comme créateur de la SAGE et lanceur de Jumbo (en 1935) puis Aventures (en 1936).
Or pour moi (mais je peux avoir eu des faiblesses oculaires), ces deux publications ont été gérées par la Librairie Moderne jusqu'en 1939.
Pour l'instant, et jusqu'à plus de précisions, je me contenterai de dire que Vecchi et Carozzo ont créé, ensemble, la SAGE et la Librairie Moderne, et que selon leurs autres activités (Vecchi ayant semble-t-il 'lâché' au bout d'un moment) ont passé leurs publications d'un côté ou de l'autre.
Ce qui est certain, c'est que la Librairie Moderne a presque disparu, pour ce qui concerne les publications BD, de 1940 à 1947, puis après 1950, de façon apparemment définitive.
C'est tout pour aujourd'hui ...

Donc, le début de la "Librairie Moderne" qui a réédité de nombreux Albin Michel, est dans les années 30. Tout le monde est d'accord là-dessus.

Les "éditions Modernes" des Petites Écuries, c'est autre chose, et n'ont aucun rapport avec Albin Michel.

Quant à ce que parle aymondel, ce n'est pas la "Librairie Moderne".

Si tu as d'autres sources, tant mieux pour toi. Ce serait bien qu'on les connaisse, à moins que tu les réserves pour une publication.

Citation :

Si tu as d'autres sources, tant mieux pour toi. Ce serait bien qu'on les connaisse, à moins que tu les réserves pour une publication

Non, monsieur, toutes les informations que je glane profitent à ce forum.
Je vais réétudier la question...

Dr Mabuse a écrit:

Il donne également la liste des titres parus :

1 L'assassinat du plus célèbre des détectives
2 La bande des cravates vertes
3 Les cadavres aux masques de cire
4 L'aéroplane mystérieux
5 Le ressuscité du cimetière de Cleveland
6 Le roi des faussaires
7 Les secrets de l'hypnotisme
8 Vingt cinq cadavres !
9 Le drame de l'express de Chicago
10 Les souterrains maudits de Clifford ou La revanche de la détective
11 L' HOMME INVISIBLE ou  La Bande aux Cent Mille Bras
12 LA POIGNÉE DE MAINS FATALE ou La rentrée en Scène de Teddy
13 LA FEMME AUX YEUX VERT
14 L' ÉLIXIR MAGIQUE
15 HAINE DE FEMME ou La Capture de l' Homme Invisible
16 LE MEURTRE DE GROSVENOR-PLACE
17 LA MAIN COUPÉE
18 LE RAPIDE DE L' ARIZONA ou Les Cows-Boys Rouges
19 LES TÊTES EMBAUMÉES DE CHICAGO
20 L' ASSOCIATION DES RIFFLEURS ou La Mort de Sokes

Je viens de remarquer que l'épisode 2 et 3 entrent en résonance avec la série "Le petit détective" de Arnould Galopin. Effectivement, les héros y ont aussi affaires avec la Bande des Cravates Vertes (bon, c'est juste évoqué) mais surtout avec des cadavres portant des masques de cires. Malheureusement, n'arrivant toujours pas à me procurer les épisodes de Miss Boston (qui sont, pour les rares disponibles, en vente depuis des années à un prix défiant toute lucidité) je ne peux vérifier si les histoires sont plus ou moins proches...

À la lecture du numéro 9 "Le drame de l'express de Chicago", trouvé dans un recueil rééditant des récits de détectives, je suis intrigué par la date à laquelle se déroule l'histoire : le 12 décembre 1892...

À moins qu'il s'agisse d'une erreur de ceux ayant travaillé sur cette réédition (je n'ai pas l'original) cette date est bien étrange puisque les aventures de Miss Boston sont censées se dérouler au début 1900, non ?
Mais, dans le numéro 14 "L'élixir magique" la date est carnaval 1898. (cette fois-ci vérifié sur l'exemplaire en ma possession).

Or, en survolant la traduction anglaise du premier épisode paru chez Black Coat, je trouve des dates allant jusqu'à 1906... ce qui laisse bien supputer que les récits se déroulent à peu près à l'époque d'écriture.

Alors, quoi ?
Quelqu'un aurait-il le 9 pour vérifier la date...
Peut-on penser que certains épisodes soient des traductions-adaptation de récits de Nick Carter ou d'un autre personnage du genre ?
Je suis dubitatif...

Tiens, je ne sais si c'est précisé quelque part, mais dans l'épisode 11, "L'homme invisible", dans un faire-part envoyé à la détective, elle est appelée miss Ethel Boston.

Ethel, comme Ethel King paru peu de temps après.

Pour continuer sur le sujet, pour ceux et celles que cela intéresserait, la liste des chapitres par titre :

N°1. — L’Assassinat du plus célèbre détective
I. — Un crime retentissant.
II. — Miss Boston trouve la piste.
III. — Le Prologue du crime.
IV. — Les deux assassins contre la détective.
V. — La nuit de Parker.
VI. — Un comptoir mystérieux.
VII. — Où on voit le poursuivi rouler la poursuivante.
VIII. — Le drame n°2.
IX. — Le puits oublié dans la vieille maison abandonnée.
X. — La suprême menace du condamné à mort.

N°2. — La Bande des Cravates vertes
I. — Où on voit miss Boston s’accuser d’avoir manqué de flair.
II. — La piste sur le quai d’Hudson.
III. — Cravate verte numéro deux.
IV. — Les surprises de la maison truquée de Plaine-Street.
V. — Le téléphone clandestin qui fait flairer la chasse.
VI. — Le marchand de cravates de Madison-Street.
VII. — L’automobile de la bande.
VIII. — Où une condamnation de la bande des cravates vertes est mal exécutée.
IX. — Miss Boston ressuscite.
X. — Où Joé, en désespéré, joue sa dernière carte.

N°3. — Les cadavres aux masques de cire
I. — Un double mystère.
II. — Premières lueurs dans les ténèbres du double mystère.
III. — En plein drame.
IV. — Un entrepreneur dont les entreprises semblent louches.
V. — Le premier cadavre au masque de cire.
VI. — Où un ivrogne se trouve être le second cadavre au masque de cire.
VII. — De l’utilité pour les détectives des cheminées sans feu dans les maisons à calorifères.
VIII. — Une perquisition nocturne à Half-City.
IX. — L’encaisseur du 2 janvier.

N°4. — L’aéroplane mystérieux
I. — Le drame mystérieux de New-Jersey.
II. — La chambre du crime.
III. — L’invisible piste.
IV. — Première erreur de la police officielle.
V. — Où le drame mystérieux de New-Jersey se répète à Boshaven.
VI. — Où on voit la goutte d’huile prendre une importance imprévue.
VII. — À la recherche de l’énigmatique aéroplane.
VIII. — Le hangar fermé qu’on ne visite pas.
IX. — L’aéroplane noir prend son vol.
X. — Du danger qu’il y a pour des assassins à se fier à de fausses références.
XI. — La catastrophe de l’aéroplane noir.

N°5. — Le ressuscité du cimetière de Cleveland
I. — Où il est question de faire ressusciter un mort.
II. — La surprise que réserve le cercueil dans le cimetière de l’Ouest.
III. — Miss Boston en danger.
IV. — Où la détective emprunte par la ruse une automobile.
V. — Où Dunker montre qu’il sait faire usage de l’automobile d’autrui.
VI. — Dans le laboratoire du crime.
VII. — Ne vendez jamais une automobile volée !
VIII. — La cheminée truquée.
IX. — L’interrogatoire du rescapé du cimetière.
X. — Automobile + scaphandre = Dunker.

N°6. — Le Roi des Faussaires
I. — Le vol de 179.000 dollars à la Banque de l’Union.
II. — Miss Boston résume les hypothèses du mystère.
III. — L’échec de miss Boston et le triomphe de Sokes.
IV. — Douze billets de banque qui se volatilisent en plein tribunal.
V. — Où on prononce pour la seconde fois le nom de la banque de Bedford.
VI. — Un interrogatoire criminel en automobile.
VII. — Les surprises du pupitre de Bedford.
VIII. — Sokes est inquiet, le dit et le prouve.
IX. — Great, patron des cow-boys.
X. — Nouvelle victoire de la femme détective.
XI. — L’encre mystérieuse.

N°7. — Les secrets de l’Hypnotisme
I. — Le mystérieux assassinat quotidien.
II. — La sanglante récapitulation.
III. — Miss Boston, reine de la logique et de la méthode.
IV. — En présence du cadavre.
V. — On achète le huitième couteau.
VI. — Où on voit miss Boston faire une enquête sans quitter son cabinet de travail.
VII. — Le huitième crime.
VIII. — Un et un font deux, ou démonstration des raisons en faveur d’une piste sérieuse.
IX. — Une nuit d’attente tragique.
X. — Où le neuvième assassin se trouve être… l’inspecteur principal Sokes.
XI. — Où miss Boston commence par démasquer master FRog.
XII. — Où master Frog continue la partie et l’achève.

N°8. — Vingt-cinq mille cadavres !
I. — En pleine tragédie.
II. — À la morgue de Bell-Island.
III. — Devant les 146 cadavres.
IV. — L’Amérique en deuil et l’administration centrale de la police affolée.
V. — Où il est prouvé que le hard-labour a du bon pour mener sur la voie des aveux et le chemin des révélations.
VI. — L’homme qui vend ses secrets pour une pipe de tabac.
VII. — La piste des frères de la mort.
VIII. — Ce que peut cacher du grain d’avoine dans un coffre à plusieurs usages.
IX. — La séance extraordinaire de club anarchiste.
X. — Où miss Boston explique le mystère des 25.000 cadavres masculins.
XI. — Le drame au bord de la cuve de bière bouillante.

N°9. — Le drame de l’express de Chicago
I. — Le compartiment sanglant.
II. — Premières lueurs sur le drame.
III. — Le mystère de master Fred Willems n°2.
IV. — L’escamotage de l’enveloppe cacheté.
V. — Crane-Court, rue où un employé de banque ne doit pas s’arrêter.
VI. — Otters = ?
VII. — Les petits papiers dans les ténèbres.
VIII. — La nuit blanche de la détective.
IX. — La cheminée de l’usine en ruines.
X. — Le Combat de l’express 248 BF.

N°10. — Les souterrains maudits de Clifford ou la revanche de la détective
I. — Miss Boston vaincue.
II. — Où on voit la malchance continuer pour la détective.
III. — L’assassinat de l’agent de change.
IV. — La raillerie dans la main du mort.
V. — Tommy continue ses sanglantes plaisanteries.
VI. — Disparition de Sokes dans le désert de Clifford.
VII. — Le premier mystère livre son secret.
VIII. — Les crucifiés de la caverne rouge.
IX. — Un par un ou la revanche de miss Boston.
X. — Une double exécution électrique à Sing-Sing.

N°11. — L’Homme invisible ou la Bande aux cent-mille-Bras
I. — Trois millions de bijoux.
II. — Le mystère de la vitrine fermée.
III. — De Broadway à Greenpont-Station.
IV. — L’homme au genou dénonciateur.
V. — La maison électrique.
VI. — Sur les rails du métropolitain.
VII. — La double face du mystère.
VIII. — Le couloir du téléphone.
IX. — La chasse à l’homme dans le faubourg de Woolwich.
X. — Le mystère de l’homme invisible.

N°12. — La poignée de main fatale ou la rentrée en scène de Teddy
I. — Un mystérieux présent.
II. — Où on devine obscurément les motifs du cadeau.
III. — Le mystérieux cadavre de Park-Hôtel.
IV. — Le cercle de la déduction se ferme autour de Teddy.
V. — Le chèque touché.
VI. — Les rayons Y.
VII. — Le télégramme truqué et ses suites.
VIII. — Où on voit jouer la télégraphie sans fil.
IX. — La clef du télégramme.
X. — Une chasse à l’homme en plein océan.
XI. — La justice des passagers du « Gibraltar ».

N°13. — La Femme aux yeux verts
I. — Le coup du chloroforme.
II. — Où on voit reparaître la complice d’un mort.
III. — Miss Boston perd la première partie.
IV. — Les surprises d’une communication téléphonique donnée par erreur.
V. — Le mystère de la boutique de Ruffers-Ban.
VI. — Un singulier jeune homme.
VII. — Le truc de l’armoire brisée.
VIII. — L’escalier mobile.
IX. — La fusillade dans les ténèbres.
X. — Première rencontre avec l’homme invisible dans le tunnel secret.
XI. — Autre coup de l’homme invisible.

N°14. — L’Elixir magique
I. — Le drame de la nuit du carnaval.
II. — La singulière résurrection de Harry Times.
III. — Où miss Boston reconnaît des profils déjà entrevus.
IV. — Le revenant d’une évasion célèbre.
V. — La piste dans Chelsea.
VI. — Miss Boston dans le Naval-Road.
VII. — Le mystère de la chaloupe pontée.
VIII. — Où la détective propose un plan audacieux et pourquoi on y renonce.
IX. — Un oiseau qui échappera au filet.
X. — La chasse tragique sur l’Hudson.
XI. — La mortelle expérience.

N°15. — Haine de femme ou La Capture de l’Homme Invisible
I. — La malle de Philadelphie.
II. — La double identification du cadavre et de l’assassin.
III. — W B Z 4438, a. g. 9.
IV. — Les plaisanteries de Plock.
V. — La crainte de Sing-Sing est le commencement des dénonciations.
VI. — Où Plock prend les apparences d’un parfait gentleman élégant.
VII. — L’automobile truquée du Bureau Central.
VIII. — Le cocher n°2.
IX. — Haine de femme.
X. — Le gibier au gîte.
XI. — La fin d’une bande illustre.

N°16. — Le meurtre de Grovesnor-Place
I. — La singulière aventure de James Marmaduck.
II. — Sur le lieu du crime.
III. — L’adresse dans la neige.
IV. — Une enquête magistrale.
V. — L’identification de l’assassin.
VI. — La déchirure révélatrice.
VII. — Le deuxième incendie de la Villa Sanglante.
VIII. — Où des détectives ont la chance d’être pris pour des cambrioleurs.
IX. — Vogt évente la souricière.
X. — Le combat après la collision.
XI. — L’heure du drapeau noir.

N°17. — La main coupée
I. — Le mystère de Maitland.
II. — La main coupée de Pretty Bell.
III. — La piste du chef de la Maffia.
IV. — Où Miss Boston arrive au moment psychologique.
V. — La piste d’un cabriolet qui retourne à Galveston.
VI. — Où on trouve l’ordre d’exécution de Crespo.
VII. — Dans l’antre de la Maffia.
VIII. — Où il est prouvé qu’une chute peut quelquefois sauver celui qui en est victime.
IX. — Le cabriolet dans la forêt.
X. — La résurrection de la main coupée.
XI. — Un vol macabre.

N°18. — Le Rapide de l’Arizona ou les Cow-Boys Rouges
I. — Le septième Attentat de l’Arizona Railway.
II. — Les Blessés de Greenwich-Hospital.
III. — Le Problème de la Courbe.
IV. — La piste du Church-Hill.
V. — Les sept coffres de la caverne.
VI. — Étranges découvertes.
VII. — Suite de la stupeur de Sokes.
VIII. — La préparation de la huitième attaque.
IX. — La capture de Red-Boy.
X. — Le coffre-fort à surprise.

N°19. — Les têtes embaumées de Chicago
I. — Le Décapité de Sommerset.
II. — Où la détective se débat dans les ténèbres.
III. — Motifs pour lesquels Miss Boston reste sur les bords du Lac Michigan.
IV. — Le deuxième jalon d’une piste.
V. — La piste qui échappe.
VI. — N° 3 et N°4.
VII. — Où la suite redoutée se produit.
VIII. — Le Dentiste d’Ontario-Street.
IX. — Le mystère d’une maison silencieuse.
X. — La chambre des têtes embaumées.
XI. — La Guillotine circulaire.

N°20. — L’Association des Riffleurs ou La Mort de Sokes
I. — Le cadavre de Durban-House.
II. — Quelques coins étranges de l’affaire.
III. — Ténèbres pour Sokes, clartés pour Miss Boston.
IV. — Révélations des papiers oubliés dans le pupitre, sur Hop et ses clients.
V. — Où un visiteur inattendu vient donner raison aux suppositions de la femme-détective.
VI. — La Grange de Milpont.
VII. — Inquiétudes de l’Association des Riffleurs.
VIII. — Les deux faux télégrammes.
IX. — Pourquoi s’arrêtent ici les mémoires de la célèbre Détective.

Toujours pour information, quelques exemples d'illustrations à l'intérieur des épisodes :




Les 6 illustrant l'épisode 11 "L'Homme invisible"

Les illustrations du 12 "La poignée de main fatale" :