[Collection] Champ de Mars - Le Moulin Noir

367 354 351 346 352 372

364 377 390 402 388 394

TontonPierre

397 400 404 401 420 406

419 421 408 416 405 411

TontonPierre

Excellent!
Il me semble avoir posté quelque part sur le forum (mais où?) un des couvertures de la collection espagnole.

Dans mon post relatif à la collection espagnole dont quelques couvertures furent utilisées par A. Guerber, j’indiquais que les noms d’auteurs Thomas Walsh et Bruce Hamilton étaient « des pseudonymes sans nul doute » d’auteurs espagnols. Il n’en est rien !. La Bibiothèque Nationale Espagnole donne d’ailleurs les titres originaux des romans correspondants :
 Thomas [B.] Walsh (1908-1984) – américain, auteur de romans policiers. Le titre espagnol Los Apuros de Mr. Janisek est la traduction de The Dark Window (Hamilton, Londres 1956) - publié en français sous le titre Réservation pour un meurtre, Dupuis, Paris 1966, coll. Mi-nuit #4.
 Bruce Hamilton (1900-1974) – anglais (frère aîné du dramaturge et romancier britannique Patrick Hamilton), auteur de romans policiers. Le titre espagnol Crimenes en alta mar est la traduction de Too Much Water (Cresset, Londres 1958). Je n’ai pas trouvé de traduction française de ce titre.

TontonPierre

Super Tonton ! Un très grand merci !

Une petite question en passant :
Dans la page de scans ci-dessous, les premiers sont des "Service Secret", j'avais commencé de rechercher les correspondances France / Espagne mais manque de temps.
Et j'évite de me disperser : je ne finirai jamais Ferenczi, sinon...
Mais je trouve que le milieu ( environ 600 à 800 ) de la collection "Servicio Secreto" a des couvertures qui ressemblent furieusement à celles de la SEG ( fin de "Allo Police", "Espionnage", ... )
Si quelqu'un a le temps de fouiller, pas moi.

https://bolsilibrosbruguera.wordpress.com/servicio-secreto-en-imagenes/

Tu as tapé dans le

Quand je disais que Guerber récidivait pour d'autres collection, je pensais notamment à la collection Services Secrets, dont les couvertures furent des repiquages de la collection "Servicio Secreto", des éditions Bruguera, dont tu donnes une adresse Web des couvertures...

TontonPierre

Lorsque tu écris "[Guerber] N’aurait-il acheté que 36 droits de tirages de couvertures? ", est-ce que tu ne t'avances pas un peu? A-t-il réellement acquis des droits, ou simplement piraté ces couvertures, comme il a piraté des textes sans payer leurs auteurs?

Jean François Le Deist a écrit:

Mais je trouve que le milieu ( environ 600 à 800 ) de la collection "Servicio Secreto" a des couvertures qui ressemblent furieusement à celles de la SEG ( fin de "Allo Police", "Espionnage", ... )
Si quelqu'un a le temps de fouiller, pas moi.

https://bolsilibrosbruguera.wordpress.com/servicio-secreto-en-imagenes/

Effectivement, il y a un air de famille, mais je n'ai pas reconnu de couverture S.E.G. Peut-être la S.E.G a-t-elle employé le même illustrateur?

36 couvertures achetées... ou piratées ????

Ma première idée était que A. Guerber aurait fait du "piratage" de couvertures. Frank Evrard penche plutôt pour l'achat d'un "lot" de couvertures.
...sauf que la collection Moulin Noir de Guerber s'est étalée sur 1959, 1960, 1961 et le début de 1962, et que si Gueber avait acheté un lot (et un seul), cela n'aurait pu être qu'en 1959, l'année où il a ouvert la collection Moulin Noir...Mais alors, comment aurait-il pu placer avec son lot acheté en 1959 des couvertures sorties en Espagne en 1960 et 1961 comme celles qui illustrent les numéros de rang supérieur de sa collection???... Hum-hum...

TontonPierre

Pseudo-pseudonymes !

Toujours dans ces séries de romans réédités par A. Guerber, on trouve tout un ramassis de signatures inédites que l’on serait tenté d’attribuer à nos auteurs français dont certains de leurs romans se trouvaient alors réédités. En fait, l’éditeur, non content d’utiliser pour ses rééditions des couvertures de collections étrangères – Espagnoles ou Italiennes, s’accaparait aussi les noms d’auteurs figurant sur ces couvertures, parfois même en en modifiant le prénom, ou en déplaçant un nom d’auteur d’une couverture à une autre…

Nous avons noté dans un post précédent le cas de deux titres de la collection Moulin Noir. Le premier, avec la signature de l’américain Thomas Walsh pour le titre espagnol Los Apuros de Mr. Janisek, qui a été « transférée » sur la réédition d’un titre de Robert-Georges Méra (“La Justice des autres”) rebaptisé pour la circonstance “Suspense avec la mort” ; le second, celui de Bruce Hamilton, auteur britannique du roman Too Much Water traduit en espagnol sous le titre “Crimenes en alta mar”, transformé par A. Guerber en D[avid]. Hamilton, et attribué à la réédition, sous le titre de “Crime en haute mer”, de “La double vie de Milord Spencer”, un roman publié en 1954 sous la signature de Dan Rochester aux éditions E.D.I.C.A.

Faut-il dire pour autant que Thomas Walsh est un pseudo. de Robert-Georges Méra et D. Hamilton un pseudo de celui qui signa Dan Rochester La double vie de Milord Spencer en 1954 ? Certainement “NON”, car aucun romancier n’avait écrit précédemment un quelconque ouvrage original précisément sous ces signatures. On peut simplement dire qu’un de leurs romans a été réédité, à la fois sous un titre différent et avec l’attribution d’une signature “inventée” par l’éditeur. Ces signatures, n’ayant rien à voir avec des pseudonymes précédemment référencés de ces romanciers, attribuées à l’occasion de rééditions, sont ce qu’on peut appeler des « signatures d’éditeur », ou « d’édition ». Ce que je nomme des « pseudo-pseudos. ».

Il semble que A. Guerber ait été le seul éditeur à se livrer à de telles « manipulations ». Et il s’en est donné à cœur joie pour sa collection Service Secret (la suite de la collection Moulin Noir), où il a repris des couvertures de la collection espagnole Servicio Secreto, éditée par la maison d’éditions Bruguera de Barcelone, ainsi que des noms d’auteurs qui sont des pseudonymes de romanciers espagnols, partenaires ou non de la collection espagnole, associant ou dissociant les signatures des couvertures utilisées.

Pour cette collection espagnole Servicio Secreto (pratiquement 1800 titres), je ne vais pas laisser chercher les chasseurs de scans… puisque je leur donne l’adresse d’un site où les couvertures sont mises en ligne :
https://bolsilibrosbruguera.wordpress.com/servicio-secreto-en-imagenes/
C’est plutôt sur les pseudonymes espagnols, qui vont devenir des pseudo-pseudonymes de romanciers français, que je vais réserver mes messages suivants (un message par pseudonyme). L’ami Arzam, qui s’étonnait dans ce topic en 2010 des signatures apposées sur les romans des collections de Guerber, y trouvera j’espère des éléments de réponse à ses questions.

TontonPierre

Donald Curtis (La Panthère blonde #40, Quatre cadavres et une donzelle #47, Coup manqué à Rio #48, Alerte Interpol #51, La Main qui étreint #54)

C’est un des pseudonymes de l’espagnol Juan Gallardo Munoz Creu. Né en 1929, fils d’acteurs professionnels, fasciné par le cinéma (d’où ses pseudos Curtis et Garland), il écrivit plus de 900 titres, dont 432 sous le pseudonyme de Donald Curtis et 457 sous le pseudonyme de Curtis Garland, dans les registres du western, du policier, de l’épouvante et de la science-fiction. Fin des années 1950, un peu avant que Guerber ne « repique » des couvertures pour sa collection Service Secret, l’espagnol publiait des polars chez Bruguera dans sa série Servicio Secreto sous la signature de Donald Curtis.


Juan Gallardo Muňoz Creu – alias Donald Curtis

Sources documentaires :
https://bolsilibrosbruguera.wordpress.com/curtis-garland-vida-y-obra/#comments

TontonPierre

Clark Carrados (Passage pour l’enfer #42, Visas sans retour #49, Haute trahison #56)

C’est un des pseudonymes de Luis García Lecha (1919-2005), qui a également signé Louis G. Milk, Glenn Parrish, Casey Mendoza, Konrat von Kasella et Elmer Evans. Toute son activité littéraire s’est développée à Barcelone, où il a résidé durant une bonne partie de sa vie, en collaborant principalement avec deux maisons d’éditions : Toray et Bruguera.
Il fut l'un des auteurs espagnols de littérature populaire les plus prolifiques, avec un total de plus de 2000 longs romans, non seulement de science-fiction, dont il est arrivé à en écrire presque 600, mais aussi dans presque tous les autres genres : western, guerre, policier, épouvante. Fin des années 1950, l’espagnol publiait des polars chez Bruguera dans sa série Servicio Secreto sous la signature de Clark Carrados.


Luis Garcia Lecha – alias Clark Carrados

Sources documentaires :
http://es.wikipedia.org/wiki/Luis_Garc%C3%ADa_Lecha
http://www.quedelibros.com/autor/959/Carrados-Clark.html
http://www.ciencia-ficcion.com/opinion/op00803.htm
http://www.compartelibros.com/autor/clark-carrados/1

TontonPierre

Keith Luger (Cadavre à louer #43)

C’est un des pseudonymes de Miguel Oliveros Tovar (1924 –1971). Brillant bachelier et étudiant en Droit, il devint avocat en 1949.
Il publia, entre août 1953 et juillet 1972 (les derniers à titre posthume), neuf cent quinze romans, dans les registres du western et du policier, de la science-fiction et du roman « à l’eau de rose », ces derniers sous la signature de Miguel Romano. Un autre de ses pseudonymes fut celui de Rude Mike, utilisé pour la maison d'édition d’Argentine Trebol (le Trèfle).
C’est sous la signature de Keith Luger que l’espagnol publiait des polars chez Bruguera dans sa série Servicio Secreto fin des années 1950.


Miguel Oliveros Tovar – alias Keith Luger

Sources documentaires :
http://www.compartelibros.com/autor/keith-luger/1

TontonPierre

George H. White (La dernière rafale #45)

C’est un des pseudonymes de Pascual Enguídanos Usach (1923 - 2006), un écrivain espagnol de science-fiction. Fonctionnaire retraité des Travaux publics, il faut le considérer comme le doyen des auteurs espagnols de science-fiction, représentant la première génération d'après-guerre.
Il commença à écrire pour les collections de la maison d'édition Valenciana : commandos, police montée ou western, en attendant de passer chez Bruguera, où il collabora pour le western, l’espionnage et la conquête de l'espace. Sous le pseudonyme de Van S. Smith ou de George H. White, il publia quatre-vingt-quinze romans dans ces différents registres.


Pascual Enguidanos Usach – alias George H. White

Sources documentaires :
http://www.compartelibros.com/autor/george-h.-white/1
http://es.wikipedia.org/wiki/Pascual_Engu%C3%ADdanos

TontonPierre

W. Catanzaro (Aventure à minuit #46)

Julio Pérez Blasco (né à Séville en 1928), alias Karel Sterling, fit partie de l’écurie des écrivains de la saga des “Combattants de l'Espace”, si bien qu’il reste pratiquement ignoré en dehors de la maison d’édition Valenciana, où il publia, outre treize volumes des “Combattants de l'Espace”, onze titres dans le registre commandos, trois dans celui de la police montée et un western. Il publia dans la série “rosa” de l’éditeur Bruguera un roman sous le pseudonyme de Julio del Olma, et quelques titres dans la série Servicio Secreto du même éditeur sous le pseudonyme de W. Catanzaro, ainsi que trois titres dans les différentes éditions de la collection Rodeo des Ediciones Cies.

Sources documentaires :
http://www.ciencia-ficcion.com/opinion/op01569.htm

TontonPierre

Ch[arles]. Mitchell (FBI contre FBI #50)

De son vrai nom Charles Miguel Martinez, il était un vétéran photographe documentaliste réputé, membre de la “Real Academia de Fotografía”. Il écrivit plusieurs romans pour la collection Servicio Secreto des éditions Bruguera, mais abandonna ce travail littéraire qu’il percevait comme un engrenage banal et mécanique.

Sources documentaires :
http://malismal.blogspot.fr/2013/09/charles-mitchell-carlos-miguel-martinez.html
http://novelasdeaduro.blogspot.fr/2013/07/micro-resena-61-ellos-los-muertos.html

TontonPierre

Mark Halloran (Le voyageur invisible #55)

De son vrai nom Jorge Gubern Ribalta (1924-1996), il publia ses premiers écrits à 20 ans aux Éditions le Clipper. Puis, comme beaucoup d’autres, il devint un romancier du western, registre qui accaparait alors 90 % de la production en kiosques. Il signa ses romans sur les aventures de Buffalo Bill du pseudonyme de W. O’Connor, pseudonyme que nous présenterons dans un prochain message. Sans être mauvais auteur, il ne figurerait pas parmi les favoris de l'époque. Il fut un romancier « tout terrain », connu sous le pseudonyme de Mark Halloran chez l’éditeur Bruguera, maison d’éditions dont il devint cadre dirigeant ; mais il écrivit également sous les pseudonymes de Bruno Shalter, Esteban Díez, Noel Gubre et Pierre Lanuza. Sa période la plus « fertile », de 50 à 55 ans, pesa lourd en papier, mais moins en qualité littéraire, ce qui finira par ensevelir sa création et le faire tomber dans l’oubli


Jorge Gubern [Ribalta] – alias Mark Halloran

Sources documentaires :
https://bolsilibrosbruguera.wordpress.com/grandes-autores-mark-halloran/
http://malismal.blogspot.fr/2013/04/mark-halloran-jorge-gubern-ribalta.html

TontonPierre

Douglas Lloyd (Les morts sont discrets #39)

Il n’existe pas de Douglas Lloyd dans la série Servicio Secreto de Bruguera, mais il exista un Lloyd C[assel]. Douglas (1877-1951), pasteur américain marié et père de deux filles qui, à plus de 50 ans, commença à écrire et prit sa retraite pour se consacrer à l'écriture de romans. Ses livres voulaient transmettre un message chrétien. Parmi ceux-là, The Robe (La Tunique) fut adapté en 1954 an cinéma avec Richard Burton dans le rôle principal (ce fut le premier film couleur au monde tourné en cinémascope). Il reste inconnu en France – du moins à la BNF, mais ses romans furent traduits en espagnol et publiés dans les années 50 et 60 aux éditions Luis de Caralt, à Barcelonne. Il y a fort à parier que c’est là que Guerber a récupéré ce pseudo d’éditeur, même si le registre d’écriture de l’américain n’avait rien à voir avec celui que « manipulait » notre éditeur français.

Sources documentaires :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lloyd_C._Douglas

TontonPierre

Bill O’Connor (Mic Mac et Cie #41)

Pas de Bill O’connor, ou de William O’Connor (Bill étant le diminutif de William) dans la collection espagnole Servicio Secreto, mais un W[illiam]. O’Connor dans la collection “Historias” de Bruguera, qui conte les aventures de Buffalo Bill.
Ces ouvrages sur Buffalo Bill, prétendument présentés comme traduits de romans américains… mais inexistants, étaient en fait l’œuvre du romancier espagnol Jorge Gubern, que nous avons rencontré précédemment avec le pseudonyme Mark Halloran.
Encore une probabilité que A. Guerber ait repéré cette signature chez son éditeur espagnol partenaire pour le ressortir dans sa collection Service Secret.


Jorge Gubern – alias W. O’Connor

Sources documentaires :
http://es.wikipedia.org/wiki/Jordi_Gubern
http://www.goodreads.com/book/show/13409891-m-s-aventuras-de-buffalo-bill

TontonPierre

Attention ! Comme je le disais dans le topic Doublés, triplés et pirates chez Guerber page 4 , il semble que Guerber ait piqué les pseudonymes, sans correspondance avec le vrai patronyme.

Citation :

De plus, dans les listings de ces séries (espagnoles) , on retrouve un certain nombre de masques utilisés par Guerber comme le Inglis Carter cité ci-dessus, mais aussi Clark Carrados ou Keith Luger avec des correspondances patronymiques qui n'ont rien à voir avec les notres !
La mondialisation avant l'heure , quoi !.

De plus Bruguera, faisait de même !

Citation :

Quelques trouvailles surprenantes, toujours dans le même cocon :
* La novela negra de Christine Keeler (o también, La dolce vita inglesa; Eduardo De Guzmán, bajo el seudónimo Jacques Marcireau; núm.extra.40)
* El hombre del Mistral (Esteban Riambau, bajo el seudónimo Maurice D’Astier; núm.60)
* En articulo mortis (Antonino García Morales, bajo el seudónimo André Picot; núm.45)
("bajo el seudónimo" signifie "sous le pseudonyme" pour les non hispanisants )

pcabriotpi83 a écrit:

Donald Curtis (La Panthère blonde #40, Coup manqué à Rio #48, Alerte Interpol #51, La Main qui étreint #54)

C’est un des pseudonymes de l’espagnol Juan Gallardo Munoz Creu. Né en 1929, fils d’acteurs professionnels, fasciné par le cinéma (d’où ses pseudos Curtis et Garland), il écrivit plus de 900 titres, dont 432 sous le pseudonyme de Donald Curtis et 457 sous le pseudonyme de Curtis Garland, dans les registres du western, du policier, de l’épouvante et de la science-fiction. Fin des années 1950, un peu avant que Guerber ne « repique » des couvertures pour sa collection Service Secret, l’espagnol publiait des polars chez Bruguera dans sa série Servicio Secreto sous la signature de Donald Curtis.


Juan Gallardo Muňoz Creu – alias Donald Curtis

Sources documentaires :
https://bolsilibrosbruguera.wordpress.com/curtis-garland-vida-y-obra/#comments

TontonPierre

ça va être un peu long de faire le ménage dans les infos sur les pseudonymes qui n'en étaient pas
mais avançons petit à petit
Juan Gallardo Munoz Creu semble avoir d'autres pseudonymes...

Citation :

Según Jesús Cuadrado, los seudónimos correctos son:

ALIAS, FIRMAS, SEUDÓNIMOS: Addison Starr || Curtis Garland (y también, Garland Curtis) || Dan Kirby || Don Harris || Donald Curtis || Elliot Turner || Frank Logan || Glen Forrester || Jason Monroe || Javier || Javier De Juan || Jean Galart || John (a veces, J.; a veces, Johnny) Garland || Juan Gallardo (a veces, J. Gallardo) || Juan Viñas || Kent Davis || Lester Maddox || Mark Savage || Martha Cendy || Terry Asens (para el mercado lati-noamericano, y en homenaje a su esposa Teresa Asensio Sánchez) || Walt Sheridan

voir ici

à noter que cet écrivain est mort le 5 février 2013 voir là

pas trouvés pour le moment les T.O. des ouvrages signés Donald Curtis dans la collection Service Secret / Baudelaire

La panthère blonde
La main qui étreint
Quatre cadavres et une donzelle
Coup manqué à Rio
Alerte Interpol

à suivre donc

arzam a écrit:

pas trouvés pour le moment les T.O. des ouvrages signés Donald Curtis dans la collection Service Secret / Baudelaire

La panthère blonde
La main qui étreint
Quatre cadavres et une donzelle
Coup manqué à Rio
Alerte Interpol

Normal, puisque ce ne sont pas des traductions! Que veux-tu dire?

Je pense qu'Arzam veut connaître les titres sous lesquels ces romans ont été publiés initialement, dans leur version "originale" et en français, évidemment...

TontonPierre

L'article de Pierre Turpin, paru à l'origine dans Encrage et réédité récemment dans Le Rocambole, fournit beaucoup d'indications. Et il me semble que nous avions passé pas mal de temps sur ce forum à décortiquer les différentes publications. Mais peut-être reste-t-il de l'ouvrage?

pcabriotpi83 a écrit:

Je pense qu'Arzam veut connaître les titres sous lesquels ces romans ont été publiés initialement, dans leur version "originale" et en français, évidemment...

TontonPierre

oui, c'est bien ça !