A mon sens, le mépris qui frappait la littérature western était identique à celui qui frappait toute la littérature populaire jusque dans les années 80. La différence, c'est que le western en tant que genre littéraire mais aussi cinématographique était bien essouflé lorsque la reconnaissance de la littérature de genre est enfin arrivé...
La collection Rivages/Noirs publie encore de temps en temps des westerns écrits par Elmore Leonard ou Charles Willeford, mais ce sont des auteurs reconnus pour leurs polars.