G.-J. ARNAUD

Bonsoir,

Je viens de mettre en ligne un site présentant la bibliographie de G.J ARNAUD :

http://bibliogjarnaud.free.fr

Je précise que la consultation de ce site doit se faire avec les dernières versions d'Internet Explorer ou avec Firefox et Chrome.
N'hésitez pas à laisser un commentaire sur le site et à l'enrichir en ajoutant les résumés manquants. Merci.

tres belle initiative
un petit plus serait une( petite) section biographie , qui regrouperait les articles ( les plus concistants seulement ) qu'on trouve sur lui en fan-magazine et internet ( comme ici : http://www.erudit.org/culture/nb1073421/nb1127166/19087ac.html?vue=resume ou là http://lebloglivres.nicematin.com/2011/06/g-j-arnaud-%C3%A9crivain-au-long-court.html) ou çà:

Bonjour,

Merci de votre message. Je vais tenir compte de votre suggestion relative aux articles biographiques.

J'étais tellement persuadé que G.-J. Arnaud était déjà décédé (certes depuis quelques temps seulement !), que je recherchais sur ces derniers jours sur la base des décès de l'INSEE sa date de naissance et celle de sa mort.
Je n'avais rien trouvé... donc il était encore de ce monde. Malheureusement pas pour longtemps...
Georges-Jean Arnaud est décédé dimanche 26 avril 2020, à son domicile de La Londe-les-Maures. Un décès des suites (si mes informations antérieures sont fiables) de la maladie d'Alzheimer.
Je livre ci-après le texte de l'article électronique nécrologique du Parisien Libéré du 29 avril 2020


Ultra-prolifique, cet écrivain avait publié plus de 400 romans depuis 1952, dans tous les genres populaires, du polar à la science-fiction en passant par l’espionnage ou les romans érotiques.
Lui-même avait dû perdre le décompte au bout d’un moment… L’écrivain Georges-Jean Arnaud, qui signait G.J. Arnaud et auteur de « quelque 416 romans », selon l’Agence France Presses, est mort à son domicile de La Londe-les-Maures (Var), à l’âge de 91 ans. « Il s’est éteint dimanche [26 avril 2020], a révélé Nathalie Carpentier, fondatrice et directrice des éditions French Pulp, qui réédite certains livres de l’écrivain. C’est une grande perte pour la littérature populaire française, non seulement pour la science-fiction mais aussi pour ses policiers, ses romans d’espionnage et ses grands romans.
Georges-Jean Arnaud, à ne pas confondre avec son homonyme Georges Arnaud, l’auteur du “Salaire de la peur”, restera en effet dans l’histoire littéraire pour sa prolifique contribution à tous les genres populaires. A commencer par la science-fiction, son grand œuvre en la matière se nommant “La Compagnie des glaces” : 98 volumes publiés au Fleuve Noir entre 1980 et 2005 ! L’intrigue se déroule dans une terre du futur complètement recouverte par les neiges, où opèrent des sociétés ferroviaires toutes puissantes. Une saga colossale par la suite déclinée en jeu de rôle, jeu vidéo, série télé et BD, et qui a peut-être inspiré la BD “Le Transperceneige”, puis le film (et bientôt la série) “Snowpiercer”…
Arnaud avait commencé sa carrière littéraire en 1952, avec un roman policier, “Ne tirez pas sur l’Inspecteur”, récompensé par le prestigieux Prix du Quai des Orfèvres. Auteur d’une centaine de polars, d’autant de romans d’espionnage, mais aussi de récits érotiques ou régionalistes, prix RTL grand public en 1988 pour “Les Moulins des nuages” (une histoire dans le milieu des vignerons), il avait publié sous une douzaine de pseudonymes. Le record de ce stakhanoviste de la fiction : 27 romans en une seule année ! Mais « en moyenne, j’écrivais une quinzaine de livres par an », avait-il avoué en 2011 au Figaro, l’une des rares fois où la presse généraliste s’était intéressée à lui.

TontonPierre

Bonjour,

Un grand monsieur vient de disparaître.

L'avant dernier numéro de Rocambole ,Bulletin des Amis du Roman Populaire ,lui était consacré.

n°88/89 Automne-Hiver 2019 "Le multiple Georges-J Arnaud"

avis d'obsèques paru dans Le Monde du 29/04 (édition du matin)

-sommaire

PS/Divers hommages et reproductions de quelques couvertures sont sur facebook

A+...Gilles

Tant qu'on est à alimenter la rubrique nécrologique, je signale la disparition avant-hier de Maj Sjöwall, co-auteure avec son époux Per Walhöö du cycle Martin Beck.