(Coll) Dite "noire" du Faucon Noir

non numérotée,avec jaquettes J de Wulf (en 1951)

Clara est une garce (Rocky Thompson)
A toi de jouer mignonne (Harry Tumber)
Drôlement gonflée la môme Jennifer (Percy Wall)
De la viande à pas chère (Terry Stewart)
Rencontre dans la nuit (A Héléna)
Les héros s'en foutent (A Héléna)

annoncé:

Faut t'faire un dessin ! (H Tumber)

Searit-ce la même ?
Moi, la môme Muriel Buddy Wesson  
Tu peux toujours te l'accrocher Buddy Wesson  
? Y'en a un en trop ... Buddy Wesson  
? Vas-y, pommade, accouche ! Buddy Wesson  
Ne compte pas sur le sursis Buddy Wesson 1951

Steve vient au rendez-vous Percy Wall 1951

Ta peau ou la sienne Buddy Wesson 1951

Les héros s'en foutent !... André Hélèna 1951  
J'étais un espion Georg Barclet 1956

6 Muriel contre le gang Patricia Wellwood
 

non non !les Budy Wesson sont de la série de "la môme Muriel" et le Barclet de la collection "espionnage".

et le Percy Walt ?

Ce Percy Wall est le premier titre du" Roman noir du contre-espionnage"

à paraitre (no 2) avec un seconde fois son héros Steve Halloway:

Femmes à abattre( P Wall)

J'aimerais savoir si "Le traitre de la bombe H" (Max Dyve) est bien paru dans une collection "contre-espionnage" (la même?)

herbulot a écrit:

le Barclet [est] de la collection "espionnage".

La preuve en image:

Couverture d'Alex Pinon.

Dans cette collection "Espionnage", est paru en 1956 du même Georg Barclet: Hommes dans la nuit, avec couverture illustrée par Aslan:


(Merci à Arphadax!)

Une piste pour tenter d’identifier qui se cache derrière Georg Barclet…

Seuls les deux titres J’étais un espion, et sa suite Hommes dans la nuit portent la signature de Georg Barclet. Un pseudonyme sans aucun doute…

Il y a fort à parier qu’il y a du Roger Dermée derrière cette Collection Espionnage du Faucon Noir, de la même manière qu’il fut présent pour la Collection Noire et la Collection La Môme Muriel des mêmes éditions.
On trouve d’ailleurs dans les romans de Georg Barclet le personnage d’un enquêteur du FBI, un certain Donovan, dont Dermée réutilisera et le nom et la fonction quelque 10 ans plus tard dans ses scénarios de Baby Colt, dans lesquels l’agent américain Donovan est amoureux de Jackie Burns, alias Baby Colt, l’incarnation en chair et en os de La Môme Double Shot Hoppy Travers. Est-ce un hasard si le Donovan de Georg Barclet a un collègue qui s’appelle Travers… le même patronyme que La Môme Double Shot ?.
On retrouve aussi à intervalles réguliers dans les romans de La Môme Double Shot et dans ceux de Georg Barclet l’appellation G. Man (ou G. Men au pluriel) pour désigner les enquêteurs du FBI. Un autre point aussi : pourquoi dans ces deux séries de romans le romancier se sent-il obligé d’indiquer au lecteur par parenthèse ou en note en bas de page la signification de l’acronyme F.B.I. que tout le monde connaît et connaissait à cette époque ?
Etranges ces coïncidences, n’est-ce pas !… Sans oublier ce prénom d’auteur : Georg… qui nous rappelle George Maxwell, alias de Georges Esposito, l'auteur de La Môme Doublr Shot.

Bon…. Mieux vaut arrêter le délire…

TontonPierre

Pauvre Tonton, il commence à voir Georges Esposito partout!
Pour ma part, j'avais noté que Barclet cachait Jacques Dubessy, comme l'avait révélé herbulot dans Le Rocambole n°37, hiver 2006, p. 114...

Et celui-ci ou va-t-il ?  

La pente / Frank P. BELINDA